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Sortir du fatalisme : au-delà du blocage

par | Avr 28, 2025 | Ressources

blocage et fatalisme

Et si dépasser le blocage du fatalisme marquait le début d’une vraie transition professionnelle ?

« Je suis comme ça. C’est comme ça. Et c’est tout. »

On connaît tous cette petite phrase. On l’a entendue. On l’a peut-être même prononcée. Elle sonne comme une vérité immuable, presque rassurante. Mais derrière cette apparente stabilité se cache parfois un blocage profond, un paradoxe intérieur, et une résistance puissante à la remise en mouvement.

Et si cette phrase, plutôt que de clore le débat, était en réalité un appel à changer de cap ?

Coach Isa, pour une transition réussie entre deux étapes de vie 

« C’est comme ça » : le paradoxe du blocage dans la transition professionnelle

Cette phrase agit comme un verrou. Elle nous enferme dans un déterminisme discret : « Je ne peux pas changer, c’est ma nature. »
Mais ce que l’on oublie, c’est que dans chaque blocage se niche un paradoxe : ce qui nous semble fixe est souvent ce qui a besoin de bouger.

Le paradoxe, c’est que plus on répète qu’on est « comme ça », plus on renforce une version figée de nous-même — tout en aspirant intérieurement à autre chose.
Et sans vis-à-vis, sans miroir, on tourne en rond dans notre propre logique.
C’est là qu’intervient le rôle du coach : un accompagnant extérieur capable de faire apparaître ce que seul, on ne voit pas. Quelqu’un qui vous aide à lire entre les lignes de vos automatismes. 

Un vis-à-vis pour sortir du blocage dans la transition professionnelle

On ne change pas en s’ordonnant de changer.
On évolue quand on se sent entendu, vu et challengé intelligemment. Quand un regard extérieur, bienveillant mais sans complaisance, vient questionner cette fameuse phrase : « C’est comme ça. »

Sans vis-à-vis, on peut rester coincé dans le déterminisme, dans le confort d’une forme d’immobilisme.
Mais avec un coach, on peut commencer à explorer les incohérences créatives de ce paradoxe :

Pourquoi est-ce que je dis ça ? Qu’est-ce que j’essaie d’éviter ? Qu’est-ce que je pourrais gagner à faire autrement ?

👉 Visiter ses paradoxes avec curiosité, c’est déjà sortir du fatalisme : c’est choisir l’exploration plutôt que la résignation.

C’est dans cette zone de friction que naît la transition.
Ce n’est pas un saut dans le vide, c’est un cheminement accompagné, pas à pas, vers un autre soi plus vivant, plus aligné, plus libre.

 

sortir du blocage

Du “je suis comme ça” au “et si j’essayais autrement ?” ou décider de lâcher le blocage

Changer ne veut pas dire tout bouleverser. Cela peut simplement vouloir dire : s’autoriser à essayer autre chose.

« C’est comme ça.. et c’est tout ? » ou sortir du blocage du fatalisme

Et si cette phrase, au lieu de clore la conversation, en devenait le début ?

« C’est comme ça »« Et si j’essayais autrement ? »
Déterminisme passifChoix conscient
Blocage ou repliCuriosité et exploration
Rigidité mentaleSouplesse d’approche
Isolement dans la penséeCo-création dans l’échange
Reproduction de schémasÉmergence de solutions nouvelles

🎯Conclusion : Le changement commence dans le paradoxe, pas dans le contrôle.

Quand vous dites : « C’est comme ça », vous lancez un appel caché à l’évolution.
La bonne nouvelle ? Ce n’est pas une impasse. C’est une invitation à la transition.
Un vis-à-vis professionnel peut vous aider à y voir clair, à décoder vos paradoxes et à avancer avec justesse.

Je suis Isa Fournier, coach de transition pour les audacieux, créateurs et leaders.
J’accompagne ceux qui ne veulent plus se contenter du “c’est comme ça” à travers leurs périodes de pivot, d’expansion ou de réalignement.

✨ Et vous, êtes-vous prêts à transformer vos blocages en tremplins ?

isafournier1 (@isafournier1) | TikTok

Osez une extraordinaire transition en vous affranchissant du blocage !

Le changement durable ne naît pas d’une injonction, mais d’un dialogue avec soi-même. Un dialogue souvent catalysé par un vis-à-vis neutre, bienveillant et stratégique.

Reconnaître ce paradoxe est aussi une clé pour comprendre à quel point notre vision de nous-même est à la fois partiellement vraie… et profondément tronquée. Ce que nous prenons pour une évidence n’est souvent qu’un point de vue limité, hérité de nos expériences passées.

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de choisir dès aujourd’hui de créer une autre réalité, et de commencer, accompagné avec discernement, à l’incarner réellement — jusqu’à la ressentir dans ses tripes et à s’y engager pleinement.